Qu’est-ce que le Digital Experience Monitoring ?

par | Mar 2, 2023 | Expérience numérique, Performances des applications, Performances du réseau, Webinaires

Prenez 15 minutes pour tout savoir sur le monitoring de l'expérience numérique et apprendre comment celle-ci complète les outils d'observation existants tels que l'APM, la NPM, les points de terminaison et les solutions de monitoring des utilisateurs réels, apportant une valeur commerciale immédiate.

Scott Sumner

Scott Sumner

CMO

Le monitoring de l’expérience numérique améliore directement l’efficacité et la productivité des entreprises qui adoptent la transformation numérique, le SaaS, l’infrastructure cloud, Internet et les réseaux hybrides. En conséquence, le DEM est devenu le segment affichant la croissance la plus rapide en matière d’observabilité informatique. On estime d’ailleurs que les entreprises devraient doubler leurs investissements dans la technologie au cours des trois années à venir*.

Malgré cette croissance rapide, le monitoring de l’expérience numérique est encore une technologie relativement nouvelle. Prenez 15 minutes pour en savoir plus sur le DEM à l’occasion de cet événement en direct. Nous vous expliquerons les fonctionnalités clés du monitoring de l’expérience numérique et nous vous montrerons comment celle-ci complète les outils d’observation existants tels que l’APM, la NPM, les terminaux et les solutions de monitoring des utilisateurs réels.

Un échange approfondi sur les cas d’utilisation du DEM sera illustrée par des démonstrations en direct de la manière dont ce dernier peut réduire le temps de dépannage de plusieurs semaines à quelques minutes pour des applications telles que :

  • Salesforce
  • Microsoft teams
  • SAP
  • ServiceNow
  • Applications hébergées sur Azure, GCP et AWS.

* Gartner, DEM Market Guide 2022

Transcription du webinaire:

Boris Rogier: [00:00:00] bonjour à tous. Merci de nous rejoindre pour ce webinaire sur l’expérience numérique et la supervision de l’expérience numérique donc qui n’est pas forcément facile à traduire mais que tout le monde va. nommé sous le sous le nom de de thèmes. On est aujourd’hui pour vous. On est aujourd’hui réunis pour vous donner une explication de ce qu’est le, ce à quoi il sert, Comment, euh, comment l’employer?

Dans quel cas en fait, la solution va avoir du sens. Donc je m’appelle, je suis le CO est un des fondateurs de Kadiska et j’ai le plaisir de vous présenter. C’est à la [00:01:00] fois le DEM et de l’illustrer par notre souci. Donc la première chose, c’est que DEM est on va dire une un acronyme récent. Il vient de nouveaux besoins.

qui sont liés à la productivité numérique est principalement liée à la transition en fait vers le cloud. Donc on va vous expliquer pourquoi e un nouveau mode de est nécessaire. Mais en fait, c’est guidé par la transformation et l’apparition d’un certain nombre de nouveaux éléments dans les systèmes d’information des sociétés.

Qui sont les applications SaaS, ces applications en général? l’usage des technologies de type et passe le la généralisation du télétravail mélangé avec le travail sur site, donc finalement du travail et des outils informatiques. la multiplication niveau réseau de l’accès e Internet direct aux applications [00:02:00] via Internet et des technologies de Taiwan.

Et puis la couche de sécurisation qui accompagne cela. Qui sont les réseaux, donc les ou le en général, c’est à dire qui regroupe toutes les technologies qui permettent de sécuriser la connectivité d’utilisateurs qui sont distribués vers des ressources internet. c’est le DEM. C’est aujourd’hui le segment en matière de solvabilité de qui est la plus forte croissance et il est lié à l’ampleur en fait de la transition vers des technologies e.

Ça, c’est et les réseaux qui l’accompagnent. Il vise à optimiser de façon proactive en fait la performance, à permettre la résolution rapide d’incidents et à mieux gérer tous les fournisseurs qui sont impliqués en fait dans la livraison. des services.

alors le principe du dem, [00:03:00] ça va être de permettre à des départements, à des fournisseurs qui sont normalement très séparés les uns des autres, de résoudre ensemble des problèmes et de le faire dans un l’impact de dans une, dans une, dans un temps court. Qu’est ce qu’on veut dire par là aujourd’hui, quand on y voit une application de sace?

Dans ce nouveau contexte hybride, il y a énormément d’acteurs en fait qui sont impliqués dans la livraison du service dès qu’il y a une dégradation. le fait de déterminer d’où vient cette dégradation est de réussir à la résoudre peut être très long. Pourquoi? Parce que personne n’a une vision globale de la chaîne de livraison, de l’application et de ce qui peut se passer et e que tous les acteurs vont e devoir être engagée pour trouver l’origine et que ça peut prendre beaucoup de temps.

Guider le principe du thème, c’est de réussir à donner une visibilité e la aujourd’hui il n’y en a pas et de réduire le temps de résolution des problèmes de quelques semaines. a quelques heures. [00:04:00] Alors si on regarde e le dem dans l’espace de et du, on va voir que e le dem l’uem, la gestion du capital humain, tout ça, c’est connectés.

Ce sont des choses qui sont proches mais qui sont différentes. Donc je vais essayer de vous expliquer en fait en quoi consiste le et comment il se situe par rapport à a à d’autres éléments on a e des choses qui relèvent du sont des choses qui relèvent plus des ressources humaines, des choses qui relèvent de la gestion des services aux utilisateurs.

En Haïti, on a des choses qui relèvent vraiment de la gestion des ou des équipements, des dispositifs utilisateurs. Et en fait, toutes ces choses là sont différentes. Donc qu’est ce que c’est que le par rapport à ça? La première chose qu’il faut comprendre, c’est que le va intégrer plusieurs dimensions qui dans un un ici traditionnel était e, gérés par des équipes différentes et par des outils différents.

Il y a trois dimensions [00:05:00] principales. La première, c’est ce qu’on appelle le RUM, le RUM. Qu’est ce que ça veut dire? C’est un acronyme anglais, ça veut dire, et il s’agit en fait de superviser, d’avoir une visibilité. sur les temps de réponse sur l’expérience des utilisateurs en de façon passive, de façon en regardant ce que réellement les utilisateurs font.

Donc qu’est ce que ça pour définir? E par comparaison, c’est obtenir ces mesures-là sans rejouer des scénarios où cent e simulé en fait de l’action utilisateurs, mais en regardant ce que font vraiment les utilisateurs. La deuxième dimension, c’est la dimension qu’on appelle APM pour Application Performance Monitoring ou Monitoring des performances des applications dans un site traditionnel, ça va être appliquée sur les applications qui sont sous le contrôle de la dgsi et ça va consister à savoir comment elle s’exécute avec le temps de réponse avec quel niveau d’erreur.

Et de la même façon, il va falloir, comme le RUM, l’appliquer dans ce nouveau [00:06:00] contexte. Et puis, dernier élément qui et c’est pareil, normalement géré par les équipes réseau, c’est le NPM, Network Performance Monitoring, c’est la performance du réseau. OK donc l’idée ça va être avec le même d’arriver à une plate-forme qui va couvrir ces trois dimensions, la et découvrir d’une façon qui est pensé non pas en fonction de de réseaux traditionnels et d’agences.

Mes pensées pour le cloud pensé pour le Saas c’est pour les utilisateurs qui sont infiniment distribués.

Donc si on regarde plus en détail maintenant, ce que le va fournir en fait. Donc il y avait trois dimensions. La notion d’application, la notion de réseau, de la notion de expérience utilisateur réel. Qu’est ce qu’il va falloir adapter pour couvrir le nouveau périmètre? La première chose, c’est que les applications ne sont pas les mêmes.

Quand on parle de performances des applications dans un environnement traditionnel, va s’appuyer sur des [00:07:00] applications traditionnelles avec un que qu’on maîtrise du java, ça peut être autre chose, mais on passe de quelque chose. On monitor une application. qu’on héberge, qu’on accède, qu’on développe, qu’on peut instrumenter à une application qui le plus souvent, est une application web qui très souvent est hébergée dans le cloud et parfois est hébergé dans le sas et dans lequel l’accès qu’on a et soit né en soit beaucoup plus restreint.

donc ça c’est le premier élément. Donc il faut prendre en compte le fait que tout ou partie de l’application des chats, ça peut être uniquement une partie. Et puis on peut avoir des services de tiers, on peut avoir des CDN ou ça peut être du Saas, auquel cas tout échappe au contrôle en fait de l’équipe qui a qui doit mener cette application.

Donc on va je vais vous donner une première démo de ces éléments là, donc je vais partager. mon écran me connecter sur une plate-forme.[00:08:00]

Alors voilà, je vais changer mon partage d’écran. Je vais arrêter et recommencer. Et voici une première plateforme. donc vous voyez maintenant en fait l’interface de Kadiska Donc quand on gère une application par exemple quand on gère la plate-forme Kadiska quand on gère notre site web par exemple, qui va être e accédez par différentes personnes, on peut voir en fait combien d’utilisateurs se rendent sur la plateforme.

Quelle est la latence réseau qui les sépare? Et puis on voit qu’à un certain moment, il peut être long de charger certaines applications. Les appels du pays, par exemple, vont être par contre relativement court. Et puis on a un certain nombre d’erreurs. Le principe, ça va être de comprendre pour cette application.

où se trouvent les utilisateurs, lesquels [00:09:00] rencontrent des difficultés et on va pouvoir en fait se dire Voilà quand je charge des pages, quel est le l’évolution en fait des temps de réponse pour charger des pages, quelles sont ses volumes, la comment Ceci évolue en fonction des utilisateurs de leur position géographique en fonction de des eaux s qui viennent se connecter à ses et des navigateurs qui sont employés.

On va le voir aussi en fonction des transactions qui sont réalisées. Donc on peut le prendre sur une période plus longue pour venir en plus de données. et on va être capable de voir par exemple, il y a un moment où on a une dégradation. Voyez autour du quatorze mars, située exactement qui peut être impactée par ça et situé.

Quelle est l’origine du problème? On peut sélectionner cette période là. On va se rendre compte qu’il y a des utilisateurs qui était en Océanie et qui vont rencontrer un problème. On va pouvoir isolé que ce sont des gens qui sont sur Chrome, que l’origine de leurs problèmes vient à la [00:10:00] performance de leur navigateur, qui a mis très longtemps à construire le la page correspondante et que c’était sur une plate-forme.

OK, si on veut s’intéresser cette fois par exemple, un problème qui, après a des cols d’un pays on va pouvoir de la même façon à les regarder l’évolution des tendances. En fait sur l’école d’un pays identifié que au même moment, par exemple, on a eu une dégradation et que c’était probablement lié à nos utilisateurs qui était en Océanie et qui avait e grosso modo e de mauvaises performances au niveau réseau au niveau du coût accès au serveur et que c’était, euh le serveur de d’apprendre qui étaient difficiles je crois.

de la même façon, si vous voulez savoir quelles sont les erreurs qui impacte ses utilisateurs, là je pourrais tout simplement cliquer ici et voir ce qui engendre des. Donc ça, ça nous permet finalement d’avoir une vision de la performance, des applications. Alors là, j’ai pris notre application, mais ça va être toutes les applications.

[00:11:00] C’est à dire que si vous rencontrez une difficulté qui, au lieu de concerner une application qui est dans votre maîtrise, concerne Google Mail, on va pouvoir de la même façon à les comprendre. sur quelle page on a e des pratiques d’erreurs filtré sur ces pages-là et comprendre exactement ce qui engendre des erreurs et comprendre que ça vient de l’autre point Google . Com et il comprend exactement aussi quelles sont les transactions qui pose problème et retrouver e ces éléments.

donc ça, c’est un premier élément. Je vais continuer à reprendre la présentation et on va passer à une deuxième dimension de l’expérience digitale avec le RUM. ici, il s’agit de comprendre en fait ce que les utilisateurs font avec des applications que les transactions ils font et quelle est l’expérience qu’ils obtiennent.

Donc à nouveau quand on pense e ancien monde nouveau [00:12:00] monde dans un environnement e traditionnelle, ça aurait été des applications. Aujourd’hui, quand on est dans une perspective moderne, c’est plus des applications de la même façon, sur un traditionnel, c’est quelques applications principales qui sont assez e séparé des autres dans le cas d’un moderne.

En fait, on se rend compte que les applications aujourd’hui, elles font l’objet de beaucoup de personnalisation et elles vont utiliser des API pour aller chercher des données dans une application traditionnelle. Dans une autre application, dans une application qui hébergeait dans Et de la même façon, dans un cas, on pouvait instrumenté l’application dans l’environnement dans laquelle on la trouve en général, ici, on n’a pas accès à l’endroit dans lequel se trouve l’application est le seul choix qu’on a.

C’est instrumenté. Finalement, Le Point, on va dire de terminaison Le point. L’utilisateur Et [00:13:00] puis euh, il y a une autre dimension qui apparaît aussi avec les modernes, c’est l’impact de tous les services de tiers, de toutes les intégrations dedans, des et des API. Donc si je prends euh je vais. J’ai de la même façon vous présenter une démo et partager

mon écran pour un autre élément, donc on va repartir un peu en arrière, puis on va s’intéresser à une autre application. On va par exemple s’intéresser à une application chez nous est une sur le métier important qui est un spot sur lequel on a envoyé un certain nombre d’utilisateurs, une dizaine d’utilisateurs, une connectivité réseau qui n’est pas très bonne et on va essayer de comprendre.

qui peut être infecté par une bonne ou une mauvaise perspective sur le spot et qui est en mesure d’utiliser l’application correcte pour appliquer. Ici, on va voir l’évolution de semaine en semaine du nombre d’utilisateurs, [00:14:00] l’évolution des performances quand on veut charger la première page de spots et puis e l’ensemble des écoles du pays qu’on exécute.

Et là, on voit que c’est relativement stable. Il y a quelques piques. Par contre, il y a clairement e des erreurs qui n’existait pas sur l’épisode qui sont apparus. On va pouvoir s’intéresser à ça. Donc la on voit tous les utilisateurs. qui sont venus sur notre stock. On voit des utilisateurs globaux, donc j’ai retiré par contre ici notre site oueb qui était resté dans mon filtre, mon erreur.

Donc là, on retrouve finalement pas tant d’erreurs que ça un petit peu. Mais surtout, on voit des pics de performance qui sont assez satisfaisante. La question, c’est de savoir qui est impactée par ça. On voit ici l’ensemble des utilisateurs qui sont distants et on les voit par opérateur. Mais on peut les voir aussi par pays ou par ville, en fonction de de ce qui est pertinent.

On peut pallier par exemple des dégradations e réseau qui, avec des gens qui viennent par l’opérateur télécoms et voir que ça se traduit par une expérience qui est [00:15:00] dégradée. On peut le voir aussi au niveau de de sites où on va avoir des utilisateurs qui sont placés respectivement à Paris, à Montréal, en Belgique, trois sites, obtenir des relativement bonne phrase au et une bonne expérience.

En général, nos problèmes sont plutôt liés en fait à des utilisateurs qui se trouvent loin, soit sur soit sur les cons. Et on va pouvoir constater ici. C’est que quand je regarde le diagramme d’accès à chaud, je vois très bien que ce sont des gens. qui sont à distance, qui ont des problèmes pour joindre Obstruct et pas les gens qui sont à Paris ou Montréal.

Si je me situe sur dans la perspective d’une résolution d’incident, je vais pouvoir me fixer ici et là, je vais voir que a été impacté par E une problématique à cinq cents sont des utilisateurs qui se trouvait chez Orange. je peux éventuellement savoir où il se trouvait. Celui qui manifestement avait une mauvaise performance était situé à Cannes et je vais pouvoir potentiellement cent centres ici.

Et si cette personne n’appelle, je pense savoir qu’il s’agit de Boris, c’est à dire moi, [00:16:00] et je vais pouvoir centrer toute mon analyse vraiment sur un utilisateur. et regardez Peut-être. Pas seulement ce que je fais sur un spot, mais regardez de façon plus générale, soit tout ce que tous les endroits depuis lesquels j’ai accédé à ce poste et voir quel est le résultat en termes d’expérience.

Et on voit qu’il y a en effet des pics d’activité mais aussi des pics de réponse. Je peux voir, je souffre de assez peu d’erreurs et on peut voir que ma collectivité varie beaucoup avec des moments où la collectivité est très mauvaise, avec des une résolution par moments, ça prend une seconde où e sept cents millions d’ici, ce qui est relativement normal, une grande variété de l’opérateur différent avec localisation.

une machine qui sature quasiment jamais Pu e a toujours un minimum de RAM disponible. Donc on voit bien que j’ai plutôt des problématiques réseau. Si on veut savoir [00:17:00] dans quel contexte produisent des c’est un petit réseau. Je peux sélectionner ici et voir que j’étais chez Orange en à Cannes et que ça impactait enfaite.

Mais pas que. Peut-être pas que si je retire le filtre hot spots, je peux voir toutes les applications. que cela impacte. Et je peux voir en effet que j’ai d’autres applications sur vers lesquels Manhattan s’était élevée à ce moment là asana e la plate-forme Kadiska et que j’ai plutôt un problème de connectivité.

On va dire de moi en tant qu’utilisateur que liée à l’application. Voilà donc ça, c’était un deuxième exemple. Je vais reprendre le fil de ma présentation.

continuer. C’est une deuxième dimension du Et puis la dernière, c’est vraiment le monitoring des performances réseau. Qu’est ce qui change de l’ancien monde au nouveau monde? Dans l’ancien monde, on avait des réseaux privés, donc ça se traduit par quoi? En clair, on savait comment un quel était le [00:18:00] chemin emprunté un utilisateur pour rejoindre un.

Surtout, on savait de qui était la responsabilité. la performance. En fait de ce réseau, en général, on avait un opérateur. Si on avait une problématique de latence entre un utilisateur et un qui appelait, on est passé sur des réseaux qui sont à la fois beaucoup plus dynamiques parce qu’il s’appuie sur des réseaux publics.

Donc les chemins changent sans arrêt. On s’appuie sur des réseaux qui sont plus complexes. parce qu’on ne fait pas que de l’accès internet direct avec des chemins dynamiques. En plus, on rajoute des couches qui augmente la le caractère dynamique e de ces réseaux là. Donc on va parler par exemple de. Mais on va parler aussi de toute la panoplie e de services qui permettent de sécuriser l’accès distant aux applications.

Donc ça va être le qui va comprendre du pour l’accès aux applications, pour l’accès à des ressources qui sont plus privée, [00:19:00] mais aussi notre qui s’appuie sur la connectivité internet et permet de joindre de façon privée des applications. de la même façon. Avant, c’était des utilisateurs sur site, vers des centres de données.

Maintenant, ce sont des travailleurs hybride. Ce sont des gens qui peuvent travailler dans plein de contextes différents, qui peuvent être sur un bureau, sur un autre, qui peuvent être sur la route, qui peuvent être en télétravail et qui rejoint pas seulement, mais aussi des clous et du coup bas. Avant, on pouvait simplement était très centré sur ce que j’ai encore la capacité pour relier les agences, parce que la performance était en général assez stable.

la Aujourd’hui, la problématique, elle est un peu différente. Comme il y a beaucoup de comportement dynamique, que ce soit au niveau des réseaux ou au niveau e du, des surcoûts ou du, et qu’on peut être envoyées à des endroits très différents, c’est quand je me connecte à mon je peux être dirigée localement à quelques kilomètres de chez moi, mais je peux aussi par erreur, être dirigé très loin.

On va plus se préoccuper en fait de la nature du chemin qu’il [00:20:00] empruntait et de comprendre. quelle route les utilisateurs prennent pour joindre une ressource et au niveau de quels sont Je rencontre une problématique. Donc si je vous fais une des modes de cela fait à nouveau partager mon écran et je vais vous montrer très rapidement commencent à se matérialise concrètement.

Donc ici, je vais passer dans cette une puisque je vais vous montrer par exemple, c’est à quel point cette force est joignable pour mon organisation. Pas donc. Il y a deux éléments clés dans cette force. Son CDN sa plateforme Taskforce.Com. J’ai tout de suite une vision globale. Voyez sur chaque bulle.

Vous voyez un nombre, c’est le nombre de sites. depuis lesquelles on teste la couleur qui peut tourner vers le violet avec des attentes très élevées, va vous indiquer si e on met longtemps ou pas joindre les ressources et le trait rouge, vous indiquer la quantité de perte de paquets auxquels sont exposés les utilisateurs quand ils veulent joindre Cette [00:21:00] première chose qu’on remarque, c’est que la la performance la latence en fait vers le passe est relativement bonne, relativement stable, la quantité de perte de paquets relativement faible et à l’inverse sur le on a une latence qui sur trente et un jours a augmenté considérablement.

Et puis des pertes de paquets qui sont focalisés là-dessus, ça va rafraîchir. e cet élément là, on se rend compte qu’on a plein de zones. Voyez le sud des Etats Unis ou l’Espagne, où on rencontre des difficultés en termes de perte de paquets, de On va pouvoir peut-être se focaliser sur un site donné sur lequel on va identifier des dégradations.

Donc vous voyez par exemple que depuis l’Australie, la performance était bonne, elle s’est très fortement dégradée. Par exemple, on pourrait s’intéresser à sa clé. Les pertes de paquets apparaissent au même moment et on a le même comportement au Canada. Si on veut s’intéresser à pourquoi ça se produit? On va regarder vraiment le chemin qu’il empruntait.

Et là, vous voyez, on regarde une période qui est peut-être un peu longue de trente jours. Mais vous voyez que le [00:22:00] problème, il apparaît le quatre mars, donc on va se s’intéresser à cette période-là. où apparaissent sur les deux sites les premières pertes de Pâques. Et puis surtout les augmentations de la danse à un point tel qu’on peut juger que l’application est probablement pas disponible à ce moment là, si je descends.

En fait, je vois chacun de mes deux sites et e les différentes résolutions, c’est à dire les noeuds du de cette force qui permet d’accéder aux ressources dont j’ai besoin pour faire fonctionner cette force. Vous voyez à Sydney la il y a trois chemins possibles. C’est assez simple. Au Canada, il y a beaucoup plus de destinations possibles, beaucoup plus de chemin possible d’emprunter.

Donc on peut regarder par exemple. comment ça se passe quand ça va bien. Donc au point de départ avant l’incident. Et là, on va voir en fait les chemins empruntés. On voit qu’on a un chemin depuis Sydney qui est très simple. Vous voyez, je passe sur un premier auteur. Je traverse ce premier opérateur vers je passe mon opérateur violée et j’arrive directement sur de cette chance.

Ok, ça se passe bien [00:23:00] ici. Euh je sors de mon site canadien, je vais passer par cet opérateur. La qui est OVH. Et puis je vais ensuite joindre juste un point de peering d’ailleurs pour joindre de mon mon au moment où ça se dégrade. qu’est ce qui change? Je vais choisir un point ici ou les deux sont dégradées.

J’ai beaucoup de pertes de paquets et les vacances qui sont incroyablement élevés. Et bien il suffit de dire je veux voir où la l’os a lieu pour comprendre exactement où se situe la dégradation. Vous voyez, ici, vous avez au niveau de ce point de peering pour les Canadiens qui font tout ce chemin là, qui sortent en fait d’un réseau qui est celui de qui joue un point de PIB ring juste avant de rejoindre le de cette force est ici.

ils ont quarante et un pour cent de perte de paquets de latence Incroyable! Et en fait ça va rendre le CDN de Salesforce quasiment injoignable et on a un phénomène assez similaire sur un ring en Australie au même moment en sortant e de cet opérateur Australie. [00:24:00] Donc voilà, ça ça illustre ce à quoi ressemble en fait la partie réseau d’une offre de m aujourd’hui OK donc si je continue sur ce chemin là.

Donc je

un écran donc quels avantages on obtient en fait avec du à quoi ça sert? ça sert à accélérer la résolution de problèmes qui affectent en fait aux utilisateurs. Ça sert à optimiser efficacement en fait l’expérience utilisateur. Donc ça veut dire quoi? Ça veut dire qu’avec une solution déjà être capable de comprendre ou est ce qu’il y a des ressources possibles?

pour améliorer les temps de réponse pour les utilisateurs et de pointer les efforts dans la bonne direction, d’éviter de dépenser à la fois du temps, des ressources et du budget sur des choses qui ne vont pas produire des résultats. Et ça permet de réduire la [00:25:00] complexité et les coûts, parce que on va tout simplement réduire les efforts inutiles pour pour pour pour e améliorer la performance.

D’un point de vue business, qu’est ce que ça veut dire? C’est assez simple l’outil informatique. Il y a un rapport direct avec la productivité des utilisateurs qui se trouve derrière les machines. Si vous améliorer cette expérience, vous améliorez directement la productivité des utilisateurs. Donc si vous êtes un, vous allez améliorer les vents.

directement. Si vous êtes en train de gérer des appels clients, vous allez améliorer le temps de durée des appels et le nombre d’appels que quelqu’un peut prendre qu’il peut traiter. Vous allez e améliorer aussi les postes de travail et éviter de surinvestir au six e à rénover e des postes de travail comme ça n’est pas nécessaire dans d’autres sources d’optimisation.

Et vous, allez il mieux servir vos clients? [00:26:00] non? j’en arrive au terme de cette présentation, je n’ai pas forcément malheureusement le temps fournir quelque chose de plus détaillée, donc c’était assez rapide. En revanche, on peut vous proposer de vous faire une démonstration e beaucoup plus personnalisé en fonction du contexte.

De répondre à vos questions également, de tester la solution de sur votre environnement, ça prend en général pas plus que trente minutes et ça nous permet d’obtenir une visibilité immédiate sur les performances à la fois de vos applications Internet SAS et de vos restos, que ce soit en hybride ou de vos réseaux internes.

Donc je vous invite fortement à visiter learn.kadiska.com/try, de remplir le formulaire et puis nous demander simplement de tester la solution dans votre environnement.

 

 

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